• 1.0 - INTRODUCTION ET POURQUOI CE LIVRE
  • 1.1 - Un peu de passé
  • 1.2 - Aujourd'hui 2017 un socle référentiel pour tous
  • 1.3 - Les cinq conditions à remplir pour la réussite de notre projet
  • 1.4 - Le projet résumé maintenant
  • 2.0 - LES ATTITUDES DE LA REPUBLIQUE
  • 2.1 - LES ATTITUDES DE LA REPUBLIQUE ATTITUDE 1 SOUVERAINETE
  • 2.2 - ATTITUDE 2 LA SOLIDARITE EN ACTION : 5 actions urgentes
  • 3.0 - LES RESSOURCES FINANCIERES DE LA REPUBLIQUE
  • 3.1 - FME PE : LES RESSOURCES DE LA REPUBLIQUE ISSUES DES RESSOURCES NATURELLES.
  • 3.2 - ANALYSE DE QUELQUES FILIERES FME PE PAR MARCHE
  • 3.3 - FHRN : LES RESSOURCES FINANCIERES ISSUES DES FILIERES HORS RESSOURCES NATURELLES
  • 4.0 - LES INVESTISSEMENTS DE LA REPUBLIQUE,LES ROUTES DE LA REPUBLIQUE
  • 4.1 - ROUTE 01 DE LA VRAIE DEMOCRATIE : la vraie démocratie passe par l’économie et la sécurité
  • 4.2 - ROUTE02 DE LA MISE EN PLACE D’UN ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE FAVORABLE (EE), Quatre chantiers
  • 4.3 - ROUTE 03 INFRASTRUCTURES les 12 chantiers
  • 4.4 - ROUTE 04 EDUCATION FORMATIONS AUX EMPLOIS D’AUJOURDHUI ET DE DEMAIN : POURQUOI, QUOI, COMMENT.
  • 5.0 - CONCLUSION : L’EPREUVE DU FEU ET DERNIERS RAPPELS
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  • 4.3 - ROUTE 03 INFRASTRUCTURES les 12 chantiers
  • 4.4 - ROUTE 04 EDUCATION FORMATIONS AUX EMPLOIS D’AUJOURDHUI ET DE DEMAIN : POURQUOI, QUOI, COMMENT.
  • Conclusion
  • Annexes
  • 5 - CONCLUSION et Table des ANNEXES

    5.0 - CONCLUSION : L’EPREUVE DU FEU ET DERNIERS RAPPELS
    • 5.0 - CONCLUSION : L’EPREUVE DU FEU ET DERNIERS RAPPELS
      Est-ce la faute du paysan malgache dans sa rizière si le pays ne marche pas ? Je nous pose la question. Depuis des dizaines d’années, les institutions (exécutif, législatif, judiciaire) fonctionnent plus ou moins. A la fin, globalement, la pauvreté s’accroit, la dette s’accroit, l’insécurité s’accroit, la souveraineté décroit, la culture malgache se dissout. Quelques milliers de personnes, malgaches et étrangers, arrivent à s’en sortir. Un peu plus de sécurité, un peu plus de propreté, un peu plus d’investisseurs étrangers, un peu plus de réseaux, un peu plus d’ONG, un peu plus de routes, un peu plus de touristes, un peu moins de bureaucratie, un peu plus de tranches de crédit, un peu plus de dons, un peu plus d’aides, un peu plus d’études de faisabilité, un grand projet minier ou autre qui occupe le terrain et tout cela permet aux plus forts, aux plus intelligents, aux plus riches, aux plus malins, aux moins honnêtes, de vivre relativement assez bien. La précarisation, la lutte pour la survie restent le quotidien de la majorité des malgaches, et pendant ce temps- là, les richesses naturelles se consument lentement, au fil des pillages « légaux », et illégaux. En ce début d’année 2018 on nous promet des émergences et une renaissance, à plus ou moins longue échéance. Moi je propose qu’on se secoue aujourd’hui tous ensemble et que l’on travaille, maintenant. TRAVAIL pas discours ; En mode PROJET pas en mode « incantation » : jour et nuit nos élites devront travailler et de la fin de la pauvreté et de l’insécurité naîtra une vraie démocratie. J’ai proposé une voie et une « boîte à outils » comme l’on dit, loin d’être parfaite, base de travail mais elle est là pour servir de support concret de réflexion car on nous étouffe sous de belles paroles creuses. Des lecteurs attentifs relèveront des contradictions, des erreurs peut-être, plus grave une méconnaissance du terrain, oui mais ils auront un objet sur lequel réfléchir qui dit pourquoi quoi et comment, indépendant des environnements politiques internationaux, un projet traitant de la relation d’Etat entrepreneur malgache à entreprise (les partenaires) et de la relation d’Etat malgache à citoyen malgache de manière réaliste, claire, responsable. Et ce projet attend des chiffres issus de notre travail maintenant, ou un autre projet si logique, clair et acceptable par tous. J’ai proposé une méthodologie fondée sur notre culture ancestrale de recherche du consensus. Ensuite, communication, explication, enthousiasme, travail, et premiers résultats, sont essentiels. Parmi les gagnants du système actuel, certains auront pour premier réflexe, de tenter de protéger leurs intérêts court terme. Qu’ils se projettent dans 20 ans en imaginant que rien ne change… je leur garantis qu’ils devront se déplacer en hélicoptère s’ils veulent voir ou revoir leur pays. La vitesse des évolutions actuelles est terrifiante, le pouvoir de certains Etats est terrifiant, le pouvoir de certaines entreprises et organisations est terrifiant. Qui sommes nous quand une société (Apple) fait en un seul trimestre l’équivalent en bénéfice de deux fois notre PIB annuels ? On peut toujours descendre au Ritz mais la tête haute ? Des pays étrangers voudront aussi protéger le business de leurs ressortissants. Des institutions a priori bienveillantes se mettront en colère. Des consultants qui dépensent au petit déjeuner ce que gagne un malgache dans un trimestre, nous donneront des leçons, comme d’habitude, de démocratie et d’économie. La réponse, notre réponse vous la connaissez : Madagascar brûle. Le monde entier parle « économie, développement, gouvernance, intérêt de la dette, mondialisation, conditionnalités » et les malgaches aussi savent parfaitement parler cette langue des forts contre les faibles. Mais seuls les malgaches savent exactement ce que veulent dire : Afa-baraka, Afo, Aina, Andrianamanitra, Fady, Fahamarinana, Fahantrana, Famadihana, Fanahy, Fasana, Fiarahabana, Fianakiviana, Fihavanana, Fokonolona, Hasina, Havana, Lahatra, Làlana, Malagasy, Mamela, Mamy, Maranitra, Noana, Ody, Ohabolona, Omby, Ray aman-dreny, Razana, Tanindrazana, Tody, Tsiny, Vary, Vintana, Vita gasy, Voninahitra, Zanahary, et je m’arrête là. La solution préconisée est un peu tranchante mais je n’en vois pas d’autre pour éteindre ce feu qui consume « La Grande Ile ». Favilla (un auteur anonyme) écrivait dans Les Echos du 9 octobre 2014 (pour la situation française) sous le titre « La tragédie du détail » : « au lieu de l’urgence et de l’ampleur qu’exige la situation on nous distille tous les jours …des exonérations, des rabotages multiformes… des velléités… des discussions alambiquées... Il suffit ! ». Qu’ai-je proposé ? Une logique pour l’intelligence, un appel au consensus le plus large et notamment celui des élites, un appel au travail acharné de tous, un appel à la responsabilité de chacun et une République, certes sévère mais dans le but d’être solidaire, donc malgache. Et une logique fondée sur notre bien commun : les ressources naturelles, et cette base c’est la base ! Ai-je ignoré notre façon d’être, notre crainte du tsiny, et du tody ? Non et oui. Non parce que je sais que chaque malgache y pense quand il a une décision à prendre, et que les décisions à prendre innovantes sont très lourdes à assumer quand elles tournent le dos aux normes habituelles. Oui parce que la situation malgache est tellement grave et la mondialisation tellement oppressante que le malgache ne peut plus être victime de ses sentiments quand la raison lui montre que s’il continue à tolérer cette situation il ne pourra même plus transmettre sa vision malgache du monde à ses descendants. Je préconise une secousse, mais organisée par les malgaches, qui repousseront les limites de leur pratiques habituelles, certes dans la crainte des conséquences de la nouveauté, mais courageusement. Et ils découvriront la vraie démocratie, en sortant de la passivité. Je préconise face à ces choix, face à cette crainte, de nous aider nous-mêmes en redonnant de la force et visibilité à notre symbolique malgache, c’est le sens du dernier point ci-après. Je reviens donc en conclusion sur cinq points vitaux : la jeunesse, le principe de responsabilité et de sévérité, le travail, la sécurité intérieure, notre culture. 4.1 La jeunesse Petite enfance, et jeunesse sont la priorité absolue. Qu’elles soient toujours prises en compte au cœur de toute décision. Kant disait « l’Homme naît deux fois », cité par Monsieur Pierre-Marie Lledo chronique dans Les Echos du 6 novembre 2017 « Un humain perfectible » qui nous informe que les progrès de la neuroscience permettent de confirmer les intuitions des philosophes : « il nous reste (une fois nés) à construire notre place dans ce même monde grâce à l’incessante renaissance induite par l’éducation ». Donc, privilégions cette étape de la vie, la jeunesse, lors de la scolarisation, lors de la formation, pour éduquer le cerveau de chacun aux valeurs et vertus qui feront pour résumer à l’âge adulte un(e) malgache, responsable, solidaire, malgache. La jeunesse, nos enseignants telle est la priorité des priorités. 4.2 Le principe de responsabilité et de sévérité ; la place des juges et de l’administration des douanes, et fiscale Je me suis expliqué longuement. Je souhaite rappeler que deux professions seront particulièrement concernées : les juges et les services des douanes. Les juges parce que juges, ils devront être exemplaires et parce qu’ils auront à appliquer les principes de responsabilité et de sévérité, les douanes et les inspecteurs des impôts, les auditeurs, parce que de leur efficacité et de leur probité dépendront le succès de la stratégie des FMEPE. 4.3 Seul le travail entraîne des emplois Si l’on veut sauver ce pays il n’y a pas d’autre solution que le travail acharné, celui des malgaches bien sûr. Si cette proposition est mise en œuvre, les investissements des FME PE puis des PPPE seront importants et entraîneront un cercle vertueux celui qui consiste à passer des commandes donc à entraîner toute l’économie. Chacun voudra gagner sa vie en fournissant des biens ou des services, en fournissant ses compétences. Les filières entraîneront toute l’économie, la professionnalisation, la mise aux normes. Les entreprises embaucheront de jeunes diplômés malgaches qui ne manquent pas, lesquels feront marcher tous les rouages du privé comme du public. Le temps du travail pour tous commencera. Le travail est toute action qui crée ou permet un nouvel état, ou qui modifie, transforme, change, un état en un autre état pour la communauté, pour l’entreprise, pour son auteur, pour la collectivité publique, pour la famille etc. Travailler c’est fondamentalement être « positif ». Chacun comprendra que le temps du blocage, de l’irresponsabilité, du « c’est fermé » du « ce n’est plus l’heure » du « revenez demain » du « doucement » du « on verra », du « ce n’est pas moi qui décide » du « il ne faut pas lui faire perdre la face » est terminé dans cette optique. Un diplômé occidental travaille 10 heures par jour, pourquoi un malgache diplômé devrait s’arrêter de travailler à 17 heures ? Il deviendra intolérable par exemple que les courriers restent sans réponse, que les responsables soient anonymes et injoignables, que personne ne réponde au bout du fil, que l’on ne puisse prendre rendez- vous rapidement avec une administration, avec un responsable identifiable et identifié. Madagascar brûle. Les nouveaux employés de l’administration ne devraient plus être fonctionnaire à vie ; ils devraient être recrutés sur la base d’un contrat de droit privé et évalués chaque année. Leur performance sera évaluée sur des critères certes spécifiques mais comparables au secteur privé. Les concours devraient être supprimés sauf pour la magistrature. Les recrutements pourraient être effectués sur la base d’entretiens collégiaux (direction opérationnelle N+1, N+2, direction des ressources humaines) après examen des CV reçus par rapport à des descriptions de postes largement publiées. Il faut que la machine administrative « tourne » et le secteur privé comprendra le message. Le dynamisme des politiques, des fonctionnaires, des jeunes, des cadres de ceux qui ont un emploi rejaillira sur l’ensemble de la société malgache : le souffle sera perceptible, partout, tant la recherche de rapidité, d’efficacité sera permanente : la vitesse d’exécution (et les malgaches ou étrangers, corrupteurs et corrompus, rentiers ou exploiteurs du système actuel qui tenteront de la ralentir seront mis devant leur responsabilité, sévèrement. Ce projet global, par l’implication des hommes et des femmes qui prendront ces responsabilités impressionnera nos partenaires, crédibilisera notre démarche, nous impressionnera nous-mêmes, comme nos clients dans le monde entier. Qui ne veut pas aider un pays qui se bat pour sa survie, sa dignité, sa souveraineté ? Le travail le vrai travail est finalement la clé. Madagascar vivote de milliers d’intérêts hétéroclites, court terme, et contradictoires. Avec un projet clair, compris et accepté par tous, on sait où l’on veut aller et comment ; donc que reste-t-il à faire ? A s’unir, à sortir du calcul court-terme individuel qui par exemple fait multiplier par cinqs le prix d’un service quand celui qui le commande est un investisseur « étranger » , à voir loin et grand pour tous, à travailler donc, à beaucoup travailler. Le résultat ? Il s’enclenchera enfin, visible pour tout le peuple, en un cercle vertueux : filières qui commandent, transforment, qui sous-traitent de la valeur ajoutée pour l’exporter au plus près du client donc avec des marges faites au pays , ensuite : revenus formels, impôts, infrastructures, sous-traitance à nouveau, formations, nouvelles entreprises, activité de plus en plus forte sur le sol malgache, sécurité par l’emploi et le travail, discipline pour la solidarité, enfin souveraineté retrouvée, dignité du peuple, dignité des gouvernants, Madagascar respectée. 4.4 Sécurité intérieure : ayons confiance en montrant notre confiance Les évènements que nous vivons depuis plusieurs années sont graves. J’ai développé le concept de sévérité et je ne reviendrai pas sur ses causes et ses effets. Je voudrais évoquer le concept de « confiance » qui le précède dans le temps. La secousse économique : un vrai travail en commun de mise à niveau de l’information, de réflexion, de décision, de confiance entre nous, d’exécution, vers un même but. Concernant la sécurité des personnes et des biens, j’en appelle au même concept de confiance : je propose de désarmer policiers, gendarmes, et militaires qui assurent au quotidien et en temps normal la sécurité intérieure. Pourquoi ? Pour permettre que s’instaure par le seul respect et par le respect de l’autorité un nouveau dialogue, une confiance nouvelle. Un Etat sûr de lui n’a pas besoin de démontrer sa force : au contraire, il montre son autorité réelle, sa confiance en lui-même, et donc sa force en ne montrant pas ses armes. Sa force c’est la confiance des citoyens, une justice efficace et son potentiel de répression armée s’il le faut. Pendant un temps inévitable de transition, ce potentiel sera mis en œuvre, sous le contrôle de juges sévères. Plus tard, les citoyens respectant les règles, l’Etat pourra consacrer les moyens ainsi économisés, à l’éducation des enfants de tous les citoyens, par exemple, à la santé, aux infrastructures. 4.5 Enfin restons malgaches J’aimerais tout d’abord, car tout pays souverain doit montrer des signes représentatifs de son histoire (et la nôtre est très belle quoique mystérieuse par certains points encore) que les universitaires, historiens, artistes malgaches soient consultés sur les formes ( toujours dans un souci d’économies cependant) que prendra d’une part la représentation symbolique de cette nouvelle république : forces armées, justice, présidence, gouvernement, d’autre part ses manifestations : cérémonies d’investitures, de réception des chefs d’Etat ou de responsables de grandes organisations, jugements, peines, fêtes et défilés, ce pour les rendre conformes à nos coutumes à notre histoire à notre culture. Nous devrions donc retrouver un apparat et un protocole malgaches sans dépenser un ariary de plus. La culture malgache, l’histoire, se retrouveraient au niveau du temporel comme un signe que le pays a retrouvé son désir de souveraineté dans son apparat avant de le recouvrer économiquement. Montrer nos racines soutiendra notre volonté courageuse de changer notre existence. La gestion des affaires publiques et des entreprises peut être la plus moderne possible et tournée vers l’efficacité (digital etc.) mais la langue malgache devrait être la seule langue officielle après 10 années de transition pendant lesquelles on continuera de traduire les textes officiels importants en français et en anglais. A l’issue de cette période seule la langue malgache devrait être officielle, l’anglais et le français restant enseignés systématiquement. Pour que le peuple malgache survive, souverain, uni, malgache, il faut maintenant travailler, vite et dur, tous ensemble pour bâtir les bases de notre futur, pour que personne ne soit laissé sur le bord de la route. Nous ne sommes pas nombreux. Si nous ne nous unissons pas nous perdrons la partie qui s’appelle « mondialisation rampante » et nous ne serons plus les maîtres chez nous. Si nous voulons rester malgaches sur la terre des ancêtres, exploitons nos compétences, notre terre notre mer nous-mêmes, ou en partenariat, mais toujours pour nous-mêmes. A cette condition, nous resterons malgaches. 4.6 Malgaches pardonnez- moi encore ma prétention. Veloma. Luc Queyrel TABLE DES ANNEXES en trois parties 1à 5 , 6à12 , 13à16 1- Tableau des cinq marchés entre lesquels les FMEPE sont ventilées. 2- Tableau des Ressources naturelles de la République et des FMEPE potentielles 3- Tableau de rattachement des FMEPE aux ministères experts 4- Tableau des FHRN : Filières Hors Ressources Naturelles et leurs ministères experts 5- Tableau des Investissements de la République : les Routes 6- Tableau des Attitudes de la République 7- Synthèse globale de l’approche 8- Tableau de la méthodologie projet & qualité 9- La construction des filières monopolistiques FMEPE les critères de sélection 10- Feuille de route de l’équipe malgache projet FMEPE 11- Le processus politique 12- Projet de texte de loi instaurant le monopole d’exportation au profit des entreprises ayant en charge une filière de type FMEPE 13- Les statuts type des entreprises en FMEPE (qui seront annexés à la loi) 14- Information to be provided by candidates to a contract for an ethical partnership with the state of Madagascar 15- Projet de business plan (plan d’affaires) 16- Accord de base conclu avec la société mère du partenaire
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